Je pense que nombreuse nous avons envié cette belle jeune femme lorsque nous étions enfant. Elle a l'air d'un ange, elle est noble dans le sens le plus chevaleresque du terme, elle est une guerrière merveilleuse, elle se bat jusqu'au bout pour ses idéaux et elle est revenue d'entre les morts pour nous accorder quelques minutes de son précieux temps avec André. C'est une Oscar dans son belle uniforme de cérémonie blanc qui se présente à moi

Journaliste: Bonjours chère Oscar. Déjà je tiens à dire que je vous admire beaucoupvous avez sut avec brio vivre dans un monde d'homme alors que vous êtes une femme et qu'à votre époque les femmes ont l'air d'être plutôt précieuse. Vous avez sut allié la force et la beauté. D'ailleurs votre beauté vous a valu de nombreux prétendant André, Girodelle puis Alain. N'avez vous jamais vu que tous ces hommes vous tournez autours faisiez vous seulement semblant car seul le beau Fersen vous intéressait ?

Oscar: Pour André je ne m'en était réellement pas rendu compte, après tous il a pensé son enfance avec moi. Je ne m'étais même pas rendu compte de mes propres sentiments avant que je ne faïsse le perdre sur la place Saint Antoine alors me rendre compte de son propre amour était difficile, surtout que nos sentiments était voué à l'échec avant que la Révolution ne commence à s'enclencher. Pour Alain comment aurais-je put me douter que cet homme, qui paraissait me détestait au tous début, puisse tomber amoureux de moi. Pour Girodelle je le savais, il faut dire que jamais il n'a caché son attirance envers moi, mais franchement je suis attiré par les vrais hommes pas se substitue d'homme à la chevelure si précieuse.

J: Vous vous êtes fait embrassé par ses trois hommes, alors lequel embrasse le mieux?

O: André, même si la première fois a été un peu rude.

J: Un peu rude il a tous de même faillis vous violer. On peut d'ailleurs dire que la dernière années de votre vie a été riche en péripétie. Entre la vue baissante d'André, votre maladie, votre entré dans les gardes française. On vous avait souvent vu boire, est ce que vous êtes devenu alcoolique pour oublier tous cela, ou est ce que vous aviez commencé à boire un peu trop bien avant ?

O: Je ne suis pas alcoolique. Après je dois dire qu'avec le départ de Fersen pour les Amériques j'ai bu un peu plus que je ne l'aurais dut. Mais je le répète je n'ai aucun problème avec l'alcool.

J: Si vous le dites. Sinon à part les évênements dans votre vie personnel, il y a eu les évênements qui ont secoué la France. Vous avez d'ailleurs dut surveillait les Etats-Généraux et cela a faillit se finir dans un bain de sang. Est ce que vous regrettez parfois que vos hommes ai été enfermer et ai faillit se faire éxécuter parce que vous ne vouliez pas tirer sur les représentants du peuple?

O: Absolument pas. J'aurais perdu leur respect si je n'avais pas été contre cette ordre, que je trouve encore maintenant stupide, j'aurais aussi perdu le respect que je me porte à moi même en allant contre mes idéaux. Et puis aucun d'eux ne m'auraient écouté, ils faisaient tous partie du peuple je les comprends. Je pense aussi que j'ai fait ce que je devais faire par la suite.

J: Et est ce que vous regretez lors du 13 Juillet d'avoir balancer votre insigne?

O: Je ne regrette rien sauf de ne pas avoir put protéger André. L'avoir perdu m'a fait si mal et je suis si heureuse d'avoir put le retrouver le lendemains. Même si nous n'avons pas put voir les résultats de ce pourquoi l'on c'est battut je suis heureuse de notre fin.

J: J'ai trouvé aussi que votre mort était magnifique, tel Roméo et Juliette vous êtes mort ensemble, vous ne pouviez vous aimez dans ce monde alors vous avez tenté de le sauver quitte à en mourir, vous avez aussi suivit vos idéaux. Vous êtes pour moi un idéal. Une dernière petite question avez-vous remis une robe depuis le bal où vous vous êtes vétu tel une femme pour Fersen?

O: Jamais, ces choses sont bien trop inconfortable et puis André même tel que je suis sans être grimé en noble dame. Je suis un soldat pas une aristocrate et l'uniforme me va mieux.

J: Je vais à présent vous laissez retrouver votre André en espérant que les deux colombes que vous êtes pouvez à présent vivre ensemble sans aucun problème.

O: Aurevoir à vous aussi. Et ne vous inquiétez pas on ne se quitte plus.

Et voici comme promis dans la vidéo l'une des peintures représentant Saint Just, alors belle gueule ?

Pierre-Paul Prud'hon, Portrait de Louis de Saint-Just (1793), musée des beaux-arts de Lyon.